Fnideq, reportage dans une ville à l’agonie

En asphyxie socio-économique depuis la fermeture de Bab Sebta, 
la localité située à la pointe nord du pays et épicentre de la contrebande 
a été le théâtre de deux manifestations visant à dénoncer un niveau 
de paupérisation rarement atteint par le passé.

Par et

Vendredi 12 février, les habitants de Fnideq ont réinvesti l’artère principale de la ville. Leur principale revendication est la réouverture de Bab Sebta. Crédit: TOUMI/TELQUEL

Fnideq coule petit à petit. A quelques kilomètres de là, sa sœur jumelle Sebta, dont la ville marocaine dépend pour sa survie, n’est pas en meilleur état. De manière plus large, c’est toute une partie du nord du Maroc qui pâtit d’une situation qui dure depuis le 9…

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