Le 19 janvier, alors que le Maroc attendait toujours la réception de ses premières doses de vaccins, le Chef du gouvernement, Saâd-Eddine El Othmani, expliquait devant le parlement que cet énième retard était dû à trois facteurs: “La capacité de production inférieure à la demande internationale, la rareté des vaccins et la spéculation autour, en plus du fait que…