Dans les contes populaires, il est toujours interdit d’ouvrir la septième porte. Nous, cinéastes marocains de 1984, sommes les personnages imprudents de la tradition. Nous n’avons pas peur de voler la clef et de voir ce qu’il y a au-delà de cette fameuse porte : notre art…”, écrivait Ahmed Bouanani en exergue à l’ouvrage…