En 2014, Laurence Leenaert débarque à M’hamid El Ghizlane pour quelques semaines, en quête d’inspiration pour une ligne de sacs à dos. Elle n’est jamais repartie. “J’ai suivi mon instinct en venant ici et en étant ouverte à tous les scénarios possibles. Cela m’a porté chance jusqu’à présent”, sourit celle qui, diplôme des Beaux-arts en poche, a fini par quitter sa…