L’image était impensable quelques années plus tôt. La scène diplomatique africaine s’était en effet habituée à un Maroc pratiquant la politique de la chaise vide et conditionnant le développement de relations bilatérales par un soutien sur le très sensible dossier du Sahara. Pourtant, le 19 novembre 2016, à Addis-Abeba, c’est un Mohammed VI souriant qui…