Se sachant condamnée, Chadya Belmekki écrit à ses enfants pour leur expliquer la décision qu’elle a prise, leur expliquer son acte et les protéger de toute poursuite. “L’espoir n’a pas eu droit à l’existence. […] J’ai donc décidé de parer à cette infirmité programmée en écourtant ma vie. Je sais ce qu’elle promet et je m’y refuse.” L’espace de cette lettre est autant celui d’un bilan…