La mer t’avalerait comme rien!”, l’avait mis en garde son père lors de sa première escapade pour répondre à l’appel de la mer. Ali al-Najdi avait cinq ans. À soixante-dix ans, lors de sa dernière sortie, il se remémore cette longue et passionnelle histoire d’amour avec la mer. Une vie faite de construction de bateaux, les boutres légers, de pêche à la…