Saphia Azzeddine : “On met les auteurs maghrébins dans des cases, je ne vais pas moi aussi m’enfoncer dans celles-ci”

Avec son huitième roman, elle signe le portrait complexe d’un père doux et affectueux, qui aime sans compter, mais aussi celui d’un résilient de la colonisation. Un roman qu’elle qualifie également d’hommage. L’auteure franco-marocaine nous en parle 
et nous raconte sa littérature.

Par

Votre dernier roman, Mon père en doute encore, retrace la vie du vôtre, ainsi que la relation que vous avez eue. A votre avis, d’où vient cette tendance autobiographique que l’on retrouve chez beaucoup d’auteurs maghrébins contemporains ?

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