Entre le Marocain et sa télévision, c’est une désunion de passion : il l’exècre et l’épie. Pendant le ramadan, cette schizophrénie atteint la félicité. Dès la rupture du jeûne, l’adrénaline s’exacerbe. Sous la torture, on bombe le torse, on s’indigne, on… souffre. Par reconnaissance, sans doute….