Démarrée en 2001, la série “Animal Crossing” place le joueur aux commandes d’un avatar qu’il guide à travers son quotidien. Ce nouveau volet suit les mêmes principes : arrivé sur une île fraîchement habitée, il faut installer son nouveau logement, faire connaissance avec ses voisins qui ont les traits d’animaux…
Le temps défile au même rythme que celui du monde réel et les journées sont notamment occupées à couper du bois, pêcher, attraper des insectes, visiter d’autres îles, faire du commerce ou encore construire de nouveaux outils ou meubles.
Ces diverses activités permettent d’acquérir davantage de clochettes — la devise locale — ou de Nook Miles — une autre monnaie d’échange permettant de débloquer du contenu supplémentaire — afin d’embellir son île.
Aucune performance particulière n’est attendue du joueur et seul le plaisir de la découverte prévaut, avec l’arrivée potentielle d’un nouvel habitant ou le besoin d’un nouvel équipement comme un camping.
Final Fantasy VII Remake : un titre culte relifté
À l’origine, “Final Fantasy VII” est un jeu de rôles sorti sur PlayStation en 1997, devenu l’une des références du genre. Pendant plusieurs années, la rumeur d’un remake a enflé jusqu’à son officialisation en 2015. Il aura fallu ensuite attendre cinq années avant que le projet soit concrétisé, ou du moins sa première partie.
Car ce titre, s’il reprend la trame du jeu originel, ne contient qu’une partie de l’aventure, longue tout de même de quelques dizaines d’heures. Un autre épisode est déjà en chantier.
Pour les joueurs qui ont déjà suivi les pérégrinations de Cloud, un ancien soldat qui vend désormais ses services à un groupe de rebelles défenseurs de l’environnement, replonger dans la ville de Midgar est un ravissement pour les yeux tant le jeu est une réussite visuelle. En ce qui concerne le scénario, des ajouts sont également de la partie et dévoilent une nouvelle facette de l’univers proposé.
La nouveauté se trouve également du côté du système de combat. L’accent est dorénavant mis sur l’action, avec un personnage libre de ses mouvements qui peut frapper ou parer. La dimension stratégique est tout de même présente, grâce à une jauge qui se remplit au cours de l’affrontement et permet de lancer des attaques dévastatrices.
Doom : le chasseur de démons reprend du service
Saga culte du jeu vidéo, “Doom” a eu droit à son “reboot” en 2016, afin de remettre au goût du jour une série née en 1993. Dans cette suite, le principe reste le même : le héros incarné par le joueur doit éliminer des démons, qui menacent cette fois la Terre.
Si le scénario de ce jeu de tir en vue subjective n’a rien de remarquable, c’est manette en mains qu’il prend tout son intérêt. Dans des niveaux à l’architecture astucieusement pensée, les joutes sont nerveuses et un large arsenal, allant du fusil à pompe au lance-roquette en passant par la tronçonneuse, permet de se débarrasser des ennemis.
Quelques énigmes sont disséminées tout au long du parcours mais elles ne servent qu’à permettre une petite respiration entre deux affrontements, dans ce qui reste avant tout un gigantesque défouloir.
Outre l’histoire, un mode multijoueurs en ligne est de la partie et permet d’incarner aussi un démon, ce qui garantit quelques heures de durée de vie supplémentaires à un jeu dont le solo reste malgré tout le point fort.