Pur produit de la bureaucratie d’État, Abdelmadjid Tebboune est, au terme d’un scrutin décrié, le nouveau président algérien. Un homme qui n’a pas manqué de dévoiler sa position sur le Maroc, lui imputant la fermeture des frontières toujours en vigueur depuis 1994.
L’heure est à la “confiance mutuelle” et au “dialogue constructif”. C’est en ces termes que Mohammed VI a appelé le nouveau président algérien, Abdelmadjid Tebboune, à inaugurer “une nouvelle page” dans les relations qui animent les deux pays, tant frères que rivaux. Relayé par la MAP le 15…
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