Corruption: une seule loi vous manque, et tout est paralysé

Bachir Rachdi table sur l’amendement du texte juridique encadrant l’Instance de lutte contre la corruption qu’il préside. Ses propositions de modification de la loi sont toujours bloquées au niveau du Secrétariat général du gouvernement. Qui a intérêt à geler l’action de Monsieur corruption ?

Par

“Sa Majesté m’a dit d’aller très loin”, nous confiait Rachdi 
il y a déjà dix mois. Depuis, 
le nouveau président de l’INPLC opère toujours selon l’ancien cadre juridique, forcément limitatif. Crédit: MAP

Sa Majesté m’a dit: je veux que vous alliez très loin”, confiait Bachir Rachdi à TelQuel deux jours après sa nomination par le roi, le 13 décembre 2018, à la tête de l’INPLC (Instance nationale de prévention et de lutte contre la corruption). L’arrivée de…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter