Biennale de Rabat : De l’art, de l’eau fraîche et des obus créatifs

Pour la première édition de la Biennale de Rabat, le commissaire Abdelkader Damani explore sans compromis la création contemporaine, avec, comme rose des vents, la perspective de cultiver un monde différent et inclusif où toutes les possibilités sont envisageables.

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Un keffieh tissé avec de longs cheveux humains et une carte du monde sculptée sur un tapis du Machreq, deux œuvres de l'artiste palestinienne Mona Hatoum qui dialoguent avec un crâne de Jbel Irhoud, vieux de 315 000 ans. Crédit: Yassine Toumi

L’affaire de la journaliste Hajar Raissouni, comme celles passées ou futures de milliers de femmes et hommes, anonymes ou pas, engagées ou pas, coupables finalement d’être, entrent paradoxalement en résonance avec le propos de la Biennale de Rabat (BR), inaugurée le 24 septembre. Le commissaire d’exposition, Abdelkader Damani, surprend avec “Un…

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