C’est au beau milieu d’un terrain vague, non loin du centre de Sidi Smaïl, que nous retrouvons Hassan Haidara, un “chevillard”, comme on dit dans le milieu. Devant l’entrée de l’ancienne bâtisse aux murs roses, les flaques de sang témoignent de l’abattage de la matinée, destiné à la consommation…