Dans un communiqué publié le 4 juillet, la Banque centrale “informe sur la détection, lors d’un mouvement de fonds, d’une différence portant sur un montant de 1,2 million de dirhams”.
Selon les investigations préliminaires menées par Bank Al-Maghrib, il s’agirait d’un acte “malveillant isolé, décelé grâce au dispositif sécuritaire et de contrôle de Bank Al-Maghrib”. “Tous les moyens sont actuellement déployés en vue de définir les responsabilités”, poursuit le communiqué.
L’institution dirigée par Abdellatif Jouahri avertit que “toute personne impliquée, directement ou indirectement, dans cette affaire sera lourdement sanctionnée sur le plan administratif, conformément au régime disciplinaire en vigueur, et ce sans préjudice des poursuites pénales”.