Françoise Vergès veut décoloniser le féminisme

Oppressions. Françoise Vergès retrace la récupération du féminisme occidental par la droite et plaide pour une approche plus globale du mouvement.

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Françoise Vergès est historienne, auteure de nombreux essais, dont Ruptures postcoloniales (avec Nicolas Bancel, Pascal Blanchard et Achille Membe en 2010). Titulaire de la chaire “Global South(s)” à la Fondation Maison des sciences de l’homme jusqu’en 2018, elle préside l’association “Décoloniser les arts”. Crédit: DR

Pendant des décennies, les revendications féministes ont suscité les moqueries, voire déchaîné la haine de la droite. Puis le féminisme “est devenu un des piliers de plusieurs idéologies qui, à première vue, s’opposent – l’idéologie libérale, l’idéologie nationaliste-xénophobe, l’idéologie d’extrême droite”, mais ont des points de convergence.

Un féminisme décolonial, Françoise Vergès, 
La Fabrique, 152 p., 160 DHCrédit: DR
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