La nature du mouvement du boycott des médecins, sa gestion ratée du gouvernement, les nouvelles formes de contestation, les indispensables réformes pour éviter la montée de la colère… le sociologue Ahmed Al Motamassik dissèque l’évolution de la contestation politique au Maroc à la lumière de la colère des étudiants en médecine.
Comment analysez-vous le boycott des étudiants en médecine?
Pour reprendre le terme, c’est un “analyseur” du blocage du système d’enseignement au Maroc. C’est d’autant plus symptomatique qu’il touche, là, des futurs médecins qui ne défendent que des revendications propres…
Soutenez un média indépendant et exigeant
- Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
- Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
- Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ?
Se connecter