Smyet bak ?
Khalil.
Smyet mok ?
Amina.
Nimirou d’la carte ?
A337450.
Vous avez baptisé votre premier long-métrage ‘Redemption Day’, c’est votre côté chrétien ?
Non, pas du tout. Je ne revendique pas la rédemption dans sa compréhension chrétienne. La rédemption telle que je l’ai imaginée dans mon film est avant tout liée à un travail sur soi des différents personnages, mais aussi sur moi-même en tant que réalisateur.
C’est l’histoire d’une archéologue américaine kidnappée par un groupe terroriste financé par la CIA et les pétrodollars avant d’être sauvée par un ancien militaire américain. Vous ne vous êtes pas trop foulé pour écrire le scénario…
Il est vrai qu’on a déjà vu des films où des étrangers se font kidnapper par des terroristes aux États-Unis ou ailleurs, mais pas au Maroc, par un Marocain. Je…“Je n’ambitionne pas de réinventer l’histoire du cinéma, mais je peux dire que je suis en train de faire un film à l’américaine sans les clichés qui vont avec”