Elle s’appelle Hayat, “la vie” en arabe. Un prénom qui dépasse celle qui a grandi rue du Pardon, à Marrakech, tantôt apprentie couturière, tantôt artiste en herbe, un foulard autour de la croupe. “Pour m’avoir baptisée de la sorte, elle avait dû nourrir de grandes ambitions à mon endroit”, regrette la rouquine. D’autant que…