Césarienne: les femmes otages du conflit

Entre la Caisse nationale des organismes de prévoyance sociale (CNOPS) 
et les gynécologues du privé, le torchon brûle. A l’origine du casus belli, 
un acte médical pratiqué de façon excessive : la césarienne.

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A travers sa décision de mieux encadrer les justifications des médecins, la CNOPS tente de freiner ce que l’on qualifie de “césariennes de convenance”. Crédit: DR

Le 16 avril, la CNOPS annonce, via communiqué, son intention d’abaisser le plafond des remboursements des césariennes pratiquées dans le privé, provoquant une colère sourde des gynécologues opérant en clinique. De 8000 dirhams, Tarif national de référence (TNR) en vigueur, la césarienne passe à 3000 dirhams (TNR de l’accouchement par voie basse) si cet acte n’est pas…

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