Hassan El Glaoui: le laudateur de la grâce

Depuis le 2 avril et jusqu’au 31 août, le Musée Mohammed VI d’art contemporain de Rabat rend hommage au peintre à travers l’exposition rétrospective “Le sel de ma terre”. L’occasion de s’éloigner du trot plein qui rythme sa carrière.

Par

L'œuvre de Hassan El Glaoui ne s'arrête pas aux chevaux. Dans sa carrière, il exécute avec ferveur des portraits de femmes (ici représentées dans “La cérémonie du thé”, 1940-1945, “Christine”, 1970, et “Maya”, 1994), s’aventure sur le sentier des natures mortes avec bonheur et se prend au jeu de l’autoportrait (1940).

L’artiste ose sa première peinture -un portrait- en 1950. Les chevaux et la fantasia n’interviennent que plus tard dans le parcours d’un artiste qui ne cesse de répéter : “Ceux qui affirment que je suis le peintre des chevaux ne connaissent rien à ma peinture.” Et pour cause… Hassan El Glaoui aime la…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter