Le soleil n’a pas fini de se lever que le port d’Agadir bourdonne déjà comme une ruche. Dans une petite allée, non loin du quai où mouillent les chalutiers, les mareyeurs hurlent les prix du jour. Les acheteurs ronchonnent ou négocient dur, car les tarifs sont élevés. Ici, pas de menu fretin,…