J’ai un style, et mon style est celui d’un management participatif. Je ne crois pas au surhomme, mais au travail collectif. J’aime valoriser les gens et leur faire confiance. Et dans une phase de transition, certes, il peut y avoir des ajustements. » Lors d’un point presse le 23 janvier à Casablanca, le patron des patrons Salaheddine Mezouar rompt le silence pour « donner sa lecture » de ses huit premiers mois de présidence et expliquer « les chantiers sur lesquels la CGEM travaille depuis les élections ». « Je peux vous assurer que la CGEM n’a pas arrêté de travailler. C’est vrai que nous n’avons pas réussi à gérer sur le plan communicationnel. Je l’admets, mais nous n’étions pas non plus au bord du gouffre, » résume-t-il. Un exercice rare pour le président de la CGEM, sous forme de…