Le cinéaste américain James Gray a le look de Mark Zuckerberg, les petites phrases assassines de Woody Allen et, pour ne rien gâcher, une personnalité cinématographique qu’il affirme à chaque film. Depuis plus de 20 ans, malgré les échecs commerciaux de ses œuvres aux Etats-Unis, il lutte pour imposer son regard aux omnipotents studios hollywoodiens. Dénigré à domicile, ce…