Meryem Alaoui Mdaghri, écrivaine: “Je ne suis la porte-parole d’aucune cause”

Smyet bak ? 

Driss.

Smyet mok ?

Zhor.

Nimirou d’la carte ?

(Rires) Ma3a9lach 3lih. Je l’ai oublié.

Votre roman ‘La vérité sort de la bouche du cheval’ (éd. Gallimard) est acclamé par la critique en France. Mais ne pensez-vous pas que, pour le lectorat marocain, le récit de la prostituée Jmiaa est construit sur des repères “déjà-vu” ?

Aucune idée. Ce n’est pas un roman à message, il n’y a pas de morale dedans. J’ai simplement eu l’envie d’écrire une fiction. Je suis donc incapable…

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