Quarante ans avant le Plan d’accélération industrielle et son écosystème “moteurs et transmission”, le Maroc fabriquait déjà des moteurs essence, diesel et électriques avec un taux d’intégration atteignant les 80%. Un taux qui rendrait jaloux Moulay Hafid Elalamy lui-même, pourtant si fier de ses réalisations dans le secteur automobile, ce nouveau métier mondial du Maroc. La SIMEF, passée en l’espace d’un…
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