L’agenda de Mehdi Lougraïda est surchargé. On l’attend dans les locaux de la Fondation Ténor pour la culture. Silhouette féline à la marche pressée, celui qui vient d’atterrir à Casablanca arrive enfin, avec deux valises et un sac à dos, dans sa chemise blanche ample, sa veste et ses mocassins noirs, entouré de proches qui le surveillent comme la prunelle…
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous
Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer