Il aurait pu se contenter d’une vie paisible dans le ventre mou de la Botola 2, rêver d’une montée en première division, peut-être même cirer le banc de touche du Raja ou du Wydad tout en faisant les yeux doux au Moghreb de Fès, l’Olympique de Safi ou le Kawkab de Marrakech. Mais non, Ayoub…
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