Le thermomètre affiche 33°C. L’humidité avoisine les 90%. Et pourtant, le chauffeur de taxi remonte sa vitre. Au niveau du carrefour de l’Indénié, sous les fenêtres et le béton jaunâtre de l’ambassade du Maroc, l’odeur d’égout est insupportable. Une pelleteuse remue une vase noirâtre, mêlée aux eaux usées qui se déversent depuis les quartiers populaires en amont. Des centaines de bouteilles et de sacs en plastique flottent à la…
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