La liberté, c’est la liberté de dire que deux et deux font quatre. Qu’elle soit accordée, et le reste suivra». Et la plus grande subversion, c’est la sensualité. Dans un univers totalitaire et strictement hiérarchisé, où chacun vit sous la surveillance permanence de «télécrans», dans la hantise de la délation et l’angoisse du retour du refoulé, où la sexualité n’a d’autre but que de donner des enfants au Parti, Winston Smith, employé…
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