Je pense que c’était joué d’avance”, évacue d’emblée Loïc Ravenel. Pour ce collaborateur scientifique au Centre international d’étude du sport de Neuchâtel (Suisse), le choix du 68e congrès de la Fédération internationale pouvait être anticipé, en raison principalement de trois facteurs. Premièrement, le dossier nord-américain “comportait objectivement le moins de risques”,…
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