Les deux principales défaillances attendues se sont produites, avec l’Arabie saoudite et l’Afrique du sud qui se sont rangées derrière le concurrent nord-américain. Ces fédérations influentes en ont probablement entraîné quelques autres dans leur sillage, à l’image des nations arabo-musulmanes et africaines qui n’ont pas choisi le Maroc : le Pakistan, la Jordanie, le Liban, ainsi que la Namibie, le Lesotho, le Botswana ou encore le Liberia.
De façon plus surprenante, la Guinée, pourtant réputée proche du Maroc, a voté pour la candidature nord-américaine. D’autres pays africains, comme le Bénin et le Cap-Vert n’ont pas respecté la consigne du président de la CAF, Ahmad Ahmad. Le Nigeria, qui avait été directement mis sous pression par Donald Trump, a finalement voté pour Maroc 2026.
D’autres États, qui avaient annoncé officiellement leur soutien à Maroc 2026, se sont rétractés, à l’image de Saint-Christophe-et-Niévès, Sainte-Lucie et le Myanmar. Si pour les deux premiers, cela peut s’expliquer par le fait que ce soit leur gouvernement et non leur fédération qui s’étaient prononcés, ce n’est pas le cas du troisième. Sur les 203 associations habilitées à voter, 134 ont choisi la candidature nord-américaine et 65 le dossier marocain, tandis que trois se sont abstenues (Cuba, Slovénie, Espagne) et qu’une (l’Iran) a rejeté les deux prétendants.
Pour le détail pays par pays, cliquez ici.
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous
Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer