Le procès de Taoufik Bouachrine tient incontestablement ses promesses, presque malheureusement, voudrait-on dire. Comment une affaire de mœurs relevant du pénal – une simple goutte dans un océan de dossiers similaires déférés devant les tribunaux du royaume – a-t-elle pu se transformer en feuilleton tragi-comique, dont les héros inespérés arborent des blouses noires et blanches, symbole d’une profession noble et…
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