Dans le procès de Nasser Zafzafi et des 53 autres détenus du Hirak à la Chambre criminelle près la Cour d’appel de Casablanca, le procureur Hakim El Ouardi était l’illustre inconnu. Il a été propulsé sous les feux des projecteurs suite à la médiatisation de cette affaire alors que sa profession, soumise au devoir de réserve, aurait dû maintenir le mystère autour du personnage. La justesse de ses interventions, son raffinement linguistique et son éloquence reviennent souvent sur les lèvres des journalistes habitués de la salle 7 de la Cour d’appel de Casablanca, où se poursuit le procès du Hirak.

Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous
Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer