Critique: Lettres à Nour, être ou ne pas lettres

En tournée au Maroc du 2 au 8 mai, Rachid Benzine a connu un franc succès avec sa pièce “Lettres à Nour”, où il donne à voir les échanges épistolaires entre un père brillant universitaire et partisan d’un islam des Lumières, et sa fille partie rejoindre l’homme qu’elle aime, combattant de Daech en Irak. Une représentation plaisante qui met en valeur le texte, au détriment du jeu d’acteurs.

Par

Une grande table symbolisant l'éloignement des protagonistes, avec à ses extrémités le père et sa fille, lisant l'un et l'autre les lettres qu'ils s'envoient:  la mise en scène de la pièce est dépouillée et d'une extrême simplicité. Crédit: DR

Falloujah, le 13 février 2014. Mon cher Papa, je sais que cette lettre va te faire du mal. Pourtant, je veux te dire…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter

Rejoignez la communauté TelQuel
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous

Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer