Beaux-Arts de Casablanca: Grandeur et décadence

Véritable laboratoire de création dans les années 1960, l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Casablanca n’est aujourd’hui plus que l’ombre d’elle-même. Retour sur la chute d’une institution consumée par une mauvaise gestion et une tutelle contre-nature.

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D’anciens responsables de L'Ecole des Beaux-Arts de Casablanca bataillent pour que l’institution dépende du ministère de la Culture et non plus de la commune urbaine. Crédit: TOUMI/TELQUEL

Après le départ agité en octobre dernier de Abderrahmane Rahoule, indéboulonnable directeur des Beaux-Arts de Casablanca depuis 2004, qui accuse la municipalité de l’avoir poussé vers la sortie “sans explications”, l’école continue de naviguer à vue, sans moyens ni vision pédagogique, et encore moins de…
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