Et si le prix à payer des machines qui pensent était des gens qui ne pensent pas ?”, se demandait en 2008 l’historien des technologies George Dyson. Nicholas Carr s’inquiète qu’on s’en remette autant à la puissance des algorithmes. Dans le brillant essai Remplacer l’humain, critique de l’automatisation de la société, il attire l’attention sur ce “faux sentiment de liberté” qu’ils procurent et sur la redéfinition de nos modes de vie. “Des services publics…
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