(Cet article est une communication d’entreprise. Il n’a pas été rédigé par les journalistes de TelQuel)
D’après Jean Dutourd, «on ne comprend guère le mot jeunesse avant trente ans». Pour le Groupe HEM, le temps est donc venu de s’arrêter sur le chemin parcouru depuis 1988, et l’ouverture du premier campus dans le quartier Polo de Casablanca. Aujourd’hui, l’institut s’est mué en groupe, et compte parmi les poids lourds de l’enseignement privé au Maroc.
En 2018, HEM, ce sont : 5 campus dans les villes de Casablanca, Rabat, Marrakech, Tanger et Fès ; et un institut supérieur à Tanger dédié aux métiers industriels. Le groupe compte aussi à son actif 170 professeurs et collaborateurs à temps plein, 300 professeurs vacataires nationaux et étrangers, 50 partenaires universitaires internationaux de haut niveau, 45 partenaires entreprises officiels (nationales et multinationales).
Une batterie pédagogique complète au service d’une philosophie diffusée tel un mantra: «des étudiants qui y entrent assez bons et qui en sortent excellents». Dans les faits, cela donne quelque 1.800 étudiants inscrits à travers les différents campus, mais surtout 5.000 diplômés dont d’illustres dirigeants dans différents secteurs au Maroc et à l’étranger. «Il y a eu beaucoup de grands moments. Chaque lauréat entrant dans le monde du travail en est d’abord un. C’est notre but ultime», se félicite le docteur Yasmine Benamour, administratrice directrice générale du Groupe HEM.
La caution de l’Etat
La quête incessante d’excellence de HEM lui a d’ailleurs valu la reconnaissance étatique. Fin mars, le groupe faisait partie de la seconde vague d’instituts d’enseignement privé reconnus par l’Etat. Sept enseignes seulement ont obtenu le précieux sésame.
Mais dans cette deuxième vague, HEM se distingue comme le seul établissement à l’avoir obtenu pour l’ensemble de ses annexes. «Le plus difficile a été de l’obtenir pour HEM en tant qu’entité unique, c’est-à-dire pour tous ses campus, car nous nous considérons réellement comme une école unique avec différentes annexes régionales», explique la directrice du Groupe.
Entre autres avantages, la reconnaissance par l’état permet notamment d’obtenir une équivalence pour les diplômes HEM et ceux de même niveau. Elle permet aussi à ses lauréats d’être admissibles aux concours de la fonction publique, mais également de poursuivre leurs études en master voir doctorats dans des établissements publics marocains.
Pour le Dr Benamour cette reconnaissance étatique valide trois acquis sur lesquels le groupe a misé gros: «La reconnaissance du monde de l’entreprise dont l’appréciation est la plus pertinente pour une business school, la reconnaissance de l’international matérialisée par la cinquantaine d’établissements d’enseignement supérieur étrangers de prestige partenaires de HEM et les doubles diplomations proposées depuis de nombreuses années, la reconnaissance des pairs incluant celle de notre ministère et des responsables d’établissements et d’universités publics».
On n’arrête pas le progrès
En obtenant la reconnaissance de l’Etat, HEM a réussi l’un de ses plus importants accomplissements depuis sa création. Mais sa quête de progrès ne s’arrêtera pas là. «Nous projetons d’ouvrir de nouveaux Campus HEM Business School dans d’autres villes marocaines», promet déjà le Dr Benamour.
Mais le gros défi pour les prochaines années, sera d’installer la marque HEM à l’international. En plus de multiplier les partenariats forts, le groupe entend désormais créer des émulations dans d’autres pays du continent.
La première étape, nous assure-t-on, sera de dupliquer le modèle de l’Institut des métiers industriels (Med Métiers). Un projet dans lequel le groupe sera accompagné par la Société financière internationale (IFC), filiale de la Banque mondiale, qui a rejoint le tour de table de HEM en 2013.
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