Ce 6 avril au théâtre Moulay Rachid de Casablanca, c’est la testostérone qui peuple les lieux, traversés par un mouvement ondulatoire qui semble n’avoir ni début ni fin. La salle résonne d’une avalanche de sons, de rythmes frappés et éraflés. Au fond, l’énergie déborde : les mains tremblent…
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