Il y a deux ans, Abdelilah Benkirane nous recevait pour la première fois. Il dirigeait à la fois le gouvernement et le PJD, qui s’échauffait pour les élections législatives. Confiant, l’islamiste en chef nous expliquait doctement autour d’un thé qu’aucun retour en arrière n’était possible. Deux ans plus tard, l’homme a été délogé…
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