Le procès de Taoufik Bouachrine a démarré le 8 mars devant la chambre criminelle de la Cour d’appel de Casablanca. Dès l’entame, la défense de Taoufik Bouachrine s’est opposée à la convocation des plaignantes et des déclarantes sur la base de l’absence de confrontation entre les parties devant le juge d’instruction. Les victimes présumées sont défendues par Me Khadija Rouggani, alors que le Syndicat national de la presse (SNPM) a commis pour elles un autre avocat, Me Jaouad Benjelloun Touimi. Par la suite, la cour s’est retirée pour délibérer sur…
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