Smyet bak ?
El Bahloul.
Smyet mok ?
Rqia.
Nimirou d’la carte ?
E31139.
Votre dernier long métrage, Les voix du désert, est en compétition au festival national du film de Tanger. S’il est visuellement bien ficelé, au niveau de l’écriture, le film est faible. Qu’en dites-vous ?
L’écriture est difficile, car c’est un film sur la poésie, et dans l’histoire du cinéma, parler de poésie n’est pas évident. Selon moi, l’histoire n’est pas vraiment importante, c’est un prétexte. Et je suis conscient que le public ne va pas forcément…
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