Dans un contexte effréné où l’image coule à flots, où les évènements cinématographiques sont légion, Meknès a choisi de jouer les outsiders. Pour une raison simplement humaine. Mohamed Beyoud, géniteur du festival et son directeur artistique, est un passionné de la bande dessinée et du dessin de presse qu’il a pratiqué. Son statut de responsable de l’action culturelle depuis 1999 au sein de l’Institut français de la ville l’a naturellement amené à réfléchir à un rendez-vous annuel, histoire de donner du ton à la fibre artistique de la population locale : “On s’est rendu compte à l’Institut qu’il y avait une forte demande émanant du jeune public pour le spectacle et le cinéma. Il ne faut pas oublier non plus que Meknès a un solide passé cinéphilique et un engouement large pour la culture. Pour exemple,…
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous
Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer