Parler de cinéma est un “réel plaisir ” pour Faouzi Bensaïdi, mais choisir sept films de référence est un “supplice”. Le cinéaste arrive à notre rendez-vous, à Tanger, au café de l’hôtel Rembrandt, tourmenté et confus. “L’exercice est intéressant, mais j’ai du mal à trancher”, confesse-t-il. Il a pensé à parler d’un unique film sept fois ou à faire deux sélections entre les films qui ont marqué le cinéma et ceux qui ont changé son rapport au cinéma. Et, finalement, son choix s’est porté sur les films qui le racontent le mieux (ou presque). Le réalisateur de What a Wonderful World est intarissable sur le Septième art. Il tâtonne entre les films noirs de Jean-Pierre Melville, les perles de Youssef Chahine et la folie humaniste de…
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous
Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer