Qu’allez-vous bien écouter à Jazzablanca cette année? Pour la 12e édition du festival, les organisateurs ont prévu deux phases. L’Hippodrome de Casablanca abritera la première partie des concerts sur trois scènes payantes (Anfa, Jazz Club et Village) du 8 au 13 avril, tandis que les concerts gratuits se dérouleront du 14 au 16 avril sur la Place des Nations unies. Mettez votre casque, nous vous proposons un avant-goût avec cette playlist.
Pink Martini
On ne présente plus le big band des douze musiciens de Portland. Depuis les années 1990, ils envoutent leurs fans en diffusant une musique suave inclassable et dans toutes les langues (français, italien, arménien, arabe…).
9 avril, scène Anfa (Hippodrome de Casablanca) à 20h30
Christian Scott
Tout droit venu de la Nouvelle-Orléans, le jeune trompettiste valse entre le jazz et la soul et le hip-hop. Le résultat de ce mix d’influences est un savoureux jazz hybride. Christian Scott n’en est pas à son premier passage au Maroc, il s’est déjà produit lors du festival Gnaoua en 2016.
10 avril, scène Anfa (Hippodrome de Casablanca) à 20h30
Kéknyúl
Du funk-rock concocté par des musiciens hongrois. C’est le projet de Kéknyúl. Le groupe est mené par le pianiste Matyas Premecz et le vocal américain installé en Hongrie, Andy Hefler.
10 avril, scène Village (Hippodrome de Casablanca) à 22h15 et 11 avril, scène Jazz Club (Hippodrome de Casablanca) à 22h15
Roberto Fonseca
Surprenant pianiste ayant fait ses preuves à La Havane, Roberto Fonseca puise dans une palette musicale large et survoltée (jazz, mambo, hip-hop, sonorités africaines, entre autres). Il s’est déjà produit lors du Festival des musiques sacrées de Fès en 2015.
12 avril, scène Anfa (Hippodrome de Casablanca) à 20h30
AaRON
Derrière le très étrange nom de groupe (acronyme pour Artificial Animals Riding On Neverland), se cachent les musiciens français Simon Buret et Olivier Coursie. Le duo propose une musique aérienne qui valse entre le rock et l’électro.
13 avril, scène Anfa (Hippodrome de Casablanca) à 20h30.
Ghoula
L’électro folk oriental du musicien tunisien Wael Jegham alias Ghoula est exquis. Les fans du festival Visa for Music de Rabat ont pu l’apprécier l’année dernière.
14 avril, Place des Nations unies à 21h00
Sahad and the Nataal Patchwork
Nous avons également découvert le groupe sénégalais Sahad and the Nataal Patchwork lors du festival Visa for Music en 2016, où ils ont lâché un Afro-beat démentiel. Belle énergie, belle prestance, à voir absolument!
16 avril, place des Nations Unies à 19h00
Gentelman’s Dub Club
On peut avoir des airs de white jazz band, porter des costumes proprets, être originaire du très froid Yorkshire et faire du dub. C’est le cas des neufs musiciens anglais du Gentelman’s Dub Club qui distillent une musique aux influences jamaïcaines.
16 avril, Place des Nations unies à 21h00
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