« L’identification et le soutien des talents émergents à travers le monde est l’un de nos engagements centraux pour favoriser la prochaine génération de cinéastes. Tout en fournissant la plateforme pour de nouvelles voix cinématographiques, nous cherchons également à construire une culture d’histoire universelle avec des films qui résonnent à travers toutes les cultures« , explique Fatma Al Remaihi, directrice générale du Doha Film Institute (DFI) dans un communiqué.
32 films ont été retenus pour la session automne 2016 du programme de subvention de l’institut. Parmi eux, trois ont été réalisés par des Marocains. Il s’agit de notamment de « Volubilis » de Faouzi Bensaidi, qui relate l’histoire d’amour entre un gardien et une servante. Une idylle qui sera chamboulée par un incident violent et humiliant.
« Stateless » de Narjiss Nejjar, raconte la quête d’une jeune fille qui tente de retrouver sa mère restée en Algérie après la marche noire de 1975. Le dernier lauréat marocain de cette subvention est le prometteur Ismaël El Iraki qui retrace dans « Zanka Contact« , l’odyssée d’une rock-star has-been.
Les montants alloués pour ce programme de subvention n’ont pas été dévoilés. Le DFI indique avoir subventionné jusqu’à présent 310 films réalisés par de jeunes talents issus de 51 pays. 264 de ces œuvres proviennent du monde arabe.
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