Dimanche 6 mars devant le parlement à Rabat, ils étaient une petite centaine à répondre favorablement à l’appel lancé par un collectif d’ONG de défense des droits des animaux, dont l’Association ASAD pour le Sauvetage des animaux en détresse et l’Association de défense des animaux et de la nature (ADAN), pour dénoncer ce qu’elles qualifient de « génocide programmé de nos chiens et chats par électrocution, fusillade et emprisonnement ».
Munis de pancartes où on pouvait lire « protégeons ces créatures de Dieu », ou encore « En Turquie on nous castre, au Maroc on nous tue », les manifestants, dont plusieurs étaient déguisés en animaux ou bien accompagnés de leurs animaux de compagnie ont déploré la manière brutale avec laquelle sont liquidés les chiens et chats errants au Maroc. A l’instar d’autres pays, les manifestants souhaitent que les autorités entament des campagnes de vaccination et de stérilisation, au lieu des fusillades jusque-là pratiquées dans plusieurs villes du royaume.
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