La première visite de l’exposition, réservée uniquement à un public adulte, a attiré une cinquantaine de personnes mercredi 1er avril au soir. La visite matinale de jeudi s’est jouée à guichets fermés. L’exposition de l’artiste américain James Turrell, qui utilise principalement l’espace et la lumière comme moyens d’expression, est intitulée Une rétrospective, découvrir l’amour des Américains pour la lumière et les paysages.
L’artiste contemporain Stuart Ringholt, organisateur de l’événement, a assuré à l’AFP qu’il s’agissait d’une expérience libératrice. « L’exposition de Turrell tourne autour de la lumière. La peau absorbe la lumière et nous avons pensé que le corps tout entier pouvait partager cette expérience ».
Il a expliqué que les spectateurs étaient « un peu gênés au départ mais une fois dévêtus, ils souriaient et riaient ». L’un d’entre eux a raconté à la Australian Broadcasting Corporation que l’expérience avait radicalement changé sa perception de l’art. « Une fois sur place on se dit qu’on pourrait faire ça toute sa vie », a-t-il dit. La visite s’est achevée par une collation, également dans le plus simple appareil.
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