Invitée lors de la troisième édition des Nuits du Ramadan, la jeune chanteuse brésilienne découvre pour la première fois le public marocain, en jouant à Agadir, Casablanca, El Jadida et Oujda. Elle s’inspire des musiques traditionnelles du Brésil (« la samba, le forro et le frevo ») et les combines avec des sonorités plus modernes comme « l’Afro-beat, le reggae et le rap…».
Au milieu des favelas de Rio de Janeiro, où elle a grandi, la jeune Flavia Coelho débute sa carrière à l’âge de 14 ans. Fascinée par la culture cosmopolite de son environnement, elle commence son carnet de voyage dans le monde musical. Installée à Paris depuis 8 ans, elle lance son premier album Bossa muffin en 2011.
C’est juste avant le coup d’envoi du Mondial de football que la jeune artiste a présenté son deuxième album intitulé Mondo Meu. Elle y raconte ses racines et nous plonge dans l’argot de sa langue natale. « Dans cet album, je parle beaucoup d’histoires de famille, d’immigration interne, c’est vraiment tourné sur le Brésil », explique Flavia. Elle construit de nouvelles sonorités enrichies par sa culture musicale. Elle chante sa beauté ainsi que les dangers de son pays d’origine.
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