Dur, dur de finaliser le rachat par le fonds britannique Actis, de la Redal et Amendis. Depuis décembre, le processus est dans l’impasse car il nécessite l’aval de chacun des 35 conseils communaux concernés dans les régions Rabat-Salé et Tanger-Tétouan. « Jusque-là, seuls six communes ont paraphé le nouveau cahier de charges approuvé par l’Intérieur », nous confie une source proche du dossier. Et dans une année préélectorale, la transaction sert de monnaie d’échange dans la surenchère entre partis politiques. Le hic : l’acquéreur des intérêts de Veolia au Maroc n’attendra pas indéfiniment et l’investissement risque de tomber à l’eau.
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